Parce que l’Union est toujours à la pointe de l’actualité, et pour ceux d’entre nous qui cherchent un endroit meilleur pour passer la période, voici une liste de lieux potentiels où se confiner, proposés par le cinéma mondial.

Dieu Seul le Sait –  John Huston, 1957.

… une île déserte pendant la guerre du pacifique,

Marie Octobre – Julien Duvivier, 1958.

… une maison remplie de traîtres potentiels,

La Condition de L’Homme, Partie I – Masaki Kobayashi, 1959.

… un camp de prisonniers de guerre en Mandchourie,

La Grande Bouffe – Marco Ferreri, 1973.

… une maison où se faire exploser le ventre,

Phase IV – Saul Bass, 1974.

… une station de recherches scientifiques sur les fourmis,

Spéciale Première – Billy Wilder, 1974.

… un commissariat de police,

Jeanne Dilman 23, quai du commerce, 1080 Bruxelles – Chantal Akerman, 1975.

… un quotidien monotone dans une maison triste,

Dog Day Afternoon – Sydney Lumet, 1975.

… une banque pendant un braquage,

Possession – Andrzej Zulawski, 1981.

… un appartement possédé,

Breakfast Club – John Hughes, 1985.

… une salle de détention de lycée,

Un Jour Sans Fin – Harold Ramis, 1993.

… une journée qui n’en finit pas,

Les Fleurs de Shanghai – Hou Hsiao-Hsien, 1998.

… une maison à opium,

Battle Royale – Kinji Fukasaku, 2000.

… une île déserte remplie d’armes,

Gosford Park – Robert Altman, 2001.

… un château de la haute société anglaise,

Un Jour Sans Fin – Harold Ramis, 1993.

… ou une journée qui n’en finit vraiment, décidément pas.